Ossek Garden (11e)

J'avais testé à l'époque la cuisine coréenne, chez Soon, ça ne m'avait pas emballée plus que ça. Ca n'était pas mauvais mais j'en gardais pas un grand souvenir. Je m'étais cependant promis de retenter cette cuisine dans un autre restaurant. Je suis donc allée au Ossek Garden, attirée par le monde qui y mangeait.

Le Bistrot du peintre (11e)

Quand je travaillais dans le 11ème, je passais tous les matins devant le Resto du peintre. A chaque fois, j'étais attirée par ses boiseries, sa carte rustique et alléchante et surtout le monde à l'intérieur! Pourtant, durant cette période, je n'y ai jamais mis les pieds, par manque de temps. Mais je n'ai pas oublié ce restaurant, je devais l'essayer. C'est désormais chose faite.

Sapporo (2e)

Il y a quelques années, une collègue m'avait expliqué que si je voulais découvrir la véritable cuisine japonaise, il fallait que j'aille rue Saint Anne. Je l'ai donc écouté et quelle ne fut pas ma surprise lorsque j'ai constaté que les célèbres sushis, makis ou brochettes ne faisaient pas partie de la carte. Aujourd'hui, la surprise est passée et je suis devenue fan d'une des cantines de cette rue : le Sapporo.

Manger un burger à Londres #1

Londres, toujours Londres... J'en suis accro, que voulez-vous que je vous dise de plus? Si le burger est devenu tendance en France ces derniers temps, il a également une place importante dans la capitale britannique. A chaque fois que je traverse la Manche, j'essaye de tester une nouvelle adresse préparant cette spécialité américaine. Voici donc un compte rendu de chaque burger testé.

Tricotin 2 (13e)

Voici une problématique peu banale : attendue à un match de handball un mercredi à 19h dans le 13ème, il me fallait trouver un restaurant qui sert à toute heure. A vrai dire, je n'étais pas très inquiète, je savais qu'avec le quartier chinois juste à côté, j'allais facilement trouver un établissement pour me servir. Malheureusement le Lao Lang Xang était fermé et le Ang ne fait que traiteur. D'où la deuxième question : où manger chinois dans le 13ème sans risquer de s'empoisonner? J'ai choisi d'appliquer la règle du "mouton", consistant à entrer dans le restaurant où il y a le plus de monde (ce qui suppose du débit et une certaine notoriété). J'ai ainsi terminé au Tricotin 2. 

CheZ Aline (11e)

Quand on travaille, on a pas toujours le temps de prendre une véritable pause déjeuner pour se restaurer. Dans ces cas là, il est bien évidemment impossible d'aller s'installer au restaurant. Paris abritant une population active conséquence, il est assez facile de trouver des établissements de restauration rapide qui feront votre bonheur tant l'offre est variée. Aujourd'hui, j'ai décidé de tester une adresse conseillée dans un magazine : CheZ Aline. Qui dit restauration rapide, dit chronique allégée, du fait qu'il y ait moins de points à traiter. 

Le Café Constant (7e)

Il y a quelques temps de cela, j'ai reçu des amis anglais à Paris. Ces derniers avaient une requête : "manger français". Mais qu'est-ce que "manger français"? Qu'est-ce qui pourrait convenir aux clichés qui circulent sur la cuisine de l'hexagone? L'idée des crêpes m'est venue mais elle fut vite écartée par mes amis. Non, monsieur dame voulaient découvrir le chic à la française, sans pour autant se ruiner. Une adresse s'est alors imposée à moi : le Café Constant.

Breizh Café (3e)

Je l'avoue : j'adore errer dans Paris sans trop savoir où je vais finir. Ce vendredi, le soleil aidant, j'ai décidé de remonter la rue Vieille du Temple et de m'arrêter dans le premier restaurant qui m'attirerait. Après avoir été tentée par "Des gars dans la cuisine", j'ai finalement flanché pour le restaurant star de la crêpe, celui qui fait l'unanimité sur le net, le "Breizh Café".

Soon (8e)

Depuis peu, j'ai observé un étrange phénomène dans Paris et sa banlieue : la présence croissante de restaurants coréens. Après la mode du chinois, puis du japonais, serait-ce celle du coréen? Ne connaissant absolument rien de cette cuisine, qui m'avait pourtant été recommandée par des amis qui l'avaient testée en Asie, j'ai voulu essayer. Etant toutefois méfiante par nature, j'ai préféré me renseigner sur les bonnes adresses avant de me lancer. Un nom est revenu plusieurs fois sur le net : Soon

Dishoom (Londres)

Votre chère gouteuse a, à nouveau, traversé la Manche pour débarquer dans sa ville fétiche : Londres. Evidemment, je n'y vais pas uniquement pour manger, mais j'aime tout de même y tester ses restaurants. Et s'il y a bien une ville où l'on peut déguster la bonne gastronomie indienne (hors Inde), c'est la capitale britannique. 
J'ai donc testé pour vous, Dishoom, un restaurant indien recommandé par le célèbre site "Time out'.

Les Délices d'Orient (15e)

Aujourd'hui j'ai testé pour vous ... la cuisine libanaise! Comment ça je l'ai déjà fait sur ce blog? Allez, j'avoue, je suis fan de cette cuisine, vous risquez donc de lire de nombreuses critiques à son sujet. Ainsi après la Table libanaise et avant Noura, voici Les Délices d'Orient!

Le Spice and Wine (14e)

Ah le Spice and wine. Il m'est si difficile de chroniquer sur ce restaurant que j'ai tant adoré et qui m'a tant déçue la dernière fois que j'y suis y allée.

Repéré à l'aide d'un encadré dans Le Point, il y a désormais quelques années de cela (2 ans je crois), j'avais été ravie de trouver un aussi bon restaurant thaïlandais pas très loin de chez moi. Tout y était réuni : des plats de qualité, un service rapide et efficace, une localisation idéale (à côté de tous les théâtres).

Quelle ne fut pas ma déception lors de mon dernier passage en Mai!

Rose thé (12e)

Comme vous avez pu le constater, je suis une adepte de la culture anglaise. Il y a bien des choses que je leur envie à nos voisins d'Outre Manche, leurs célèbres salons de thé en fait partie. Les Français sont si doués en pâtisserie, c'est tellement dommage de ne pas trouver un lieu sympathique pour les déguster (sans que ça nous coûte un bras). C'était mon petit coup de gueule post chronique. Ceci étant dit, il existe des exceptions à ce constat : il s'agit du Rose Thé.

Le Dirigeable (15e)

Symbole de la gastronomie parisienne, incontournable pour le touriste, le bistrot est une marque forte de la capitale française. Mais malheureusement, il est devenu de plus en plus difficile de déjeuner dans un bon bistrot. Bonne pioche pour moi : en allant au "Dirigeable", j'ai pu déguster la véritable cuisine parisienne.

L'As du Fallafel (4ème)

J’adore faire du shopping dans le Marais le samedi après midi, flâner dans ses petites rues, fouler les pavés irréguliers, me perdre (car ça m’arrive souvent). Mais malheureusement, en y allant un samedi, il m’a toujours été impossible de goûter à la gastronomie juive, les établissements la servant étant fermés le samedi pour cause de Shabbat.

Vendredi dernier, travaillant dans le quartier exceptionnellement, je n’ai pas laissé passer ma chance et j’ai pu enfin tester les fallafels version juive (je suis plutôt une habituée de sa version libanaise). Pour cela, j’ai décidé de faire le « mouton » en pénétrant dans le restaurant devant lequel la queue était la plus fournie. Il s’agissait de « L’as du fallafel »

Le River Café (Issy les Moulineaux)

Lorsque l'on vit dans une grande ville, on rêve de pouvoir manger , une fois de temps en temps, au soleil, sur une terrasse, au bord de l'eau. Ce rêve devient réalité au River Café d'Issy les Moulineaux. Mais les plats pimentent-ils ce doux rêve?

Le Grand Colbert

Piège à touristes, vous avez dit piège à touristes?  Il y a peu, j'écrivais dans une de mes notes (pas encore publiée, mais ça va arriver) qu'il était difficile de trouver une bonne brasserie française à Paris, tant celles-ci étaient devenues de véritables attrape-nigauds. Le Grand Colbert se classe parfaitement dans cette catégorie.

Bumpkin (Londres)

Il y a des envies comme ça qui ne s'expliquent pas. J'avais déjà eu l'occasion de très bien manger à Londres, mais en réfléchissant, je n'avais jamais testé la cuisine traditionnelle anglaise. D'un autre côté, pour me défendre, Londres est réputée pour son multiculturalisme, il est réellement aisé de manger italien chinois, japonais ou caribéen. Mais pour ce qui est de la cuisine typiquement anglaise, il faut normalement se tourner vers les pubs. Avec Bumpkin, il est désormais possible de manger dans un cadre plus "cosy" (même si j'adore l'ambiance des pubs, n'allez pas vous méprendre!)

Il faisait grand soleil dans le quartier français de South Kensington ce jour là. La précision est importante car le beau temps influe sur les envies du moment. Et quand j'ai vu la façade fleurie du Bumpkin, je n'ai pas hésité à pénétrer dans l'établissement. 

Petites gourmandises à Londres

Londres a mauvaise réputation lorsqu'il s'agit de nourriture. C'est pourtant une bien grande erreur de notre part, que de sous estimer la gastronomie anglaise. Bien au contraire, à Londres, nos papilles sont émoustillées à tous les coins de rue, il est difficile de résister aux odeurs émanant des différents stands exotiques qui peuplent les marchés.

Aujourd'hui, j'ai décidé de me focaliser sur Londres et ses douceurs sucrées. je mets volontairement de côté les "afternoon teas", qui auront leur propre article. Ici il sera sujet de cookies, glaces et autres gourmandises à manger sur le pouce. Je vous l'avoue, c’est bien dans la capitale anglaise que j'ai pu déguster les meilleurs sucreries.

Le China (12e)

Manger dans un chinois chic est difficile à Paris. Manger tout en assistant à un concert est tout aussi difficile. Alors allier les deux semble impossible. Pourtant, le China, qui a délaissé sa particule "club", a cherché à relever le défi. Si l'intention est bonne, elle se solde malheureusement par un échec. Récit d'un beau gachis.

Tout l'esthétique du restaurant reprend les codes du "chic". Un voiturier est proposé, l'accueil se fait au pupitre, les chesterfields remplacent les traditionnelles chaises. La décoration et l'éclairage rouge accentuent également cette volonté de dégager un côté haut de gamme. L'arrivée au China est donc une bonne surprise, il est toujours agréable de découvrir un lieu aussi soigné. 

Comme le dit un proverbe célèbre, il ne faut pas se fier aux apparences, car si le China a été méticuleux pour l'esthétisme, le reste ne suit absolument pas. 

Jamòn Jamòn à Londres

Londres est ma seconde ville de coeur. Grâce à mes nombreux allers / retours dans la capitale anglaise, j'ai pu découvrir pas mal d'adresses sympathiques où manger. Londres ce n'est pas que du pouding, des fishs & chips et de la sauce à la menthe (je vous avoue même n'avoir jamais goûté à ces 3 clichés) mais c'est une ville multiculturelle où toutes les cuisines sont représentées. Aujourd'hui, direction l'Espagne, avec les tapas du Jamòn Jamòn.

Jamòn Jamòn est un bar à tapas niché dans le quartier populaire de Camden Town, connu pour son marché aux puces pris d’assaut par les touristes le week-end. Ce marché regorge de petites échoppes vendant des plats venus du monde entier : Inde, Chine, Caraïbes... Cependant, n'étant pas téméraire, j'ai préféré m'éloigner de ces stands,  pour me diriger vers un véritable restaurant. La façade du Jamòn Jamòn étant très attrayante, c'est sans aucune hésitation que j'avais décidé d'y faire mon repas.

Berko (4e)

Les pâtisseries américaines ont fait depuis quelques années leur trou dans le paysage gastronomique parisien, de plus en plus de boutiques spécialisées dans la vente des adorables cupcakes apparaissant. Pas fans de ces petits gâteaux que je trouve extrêmement sucrés, j'avoue cependant avoir un réel penchant pour l'autre spécialité américaine : le cheesecake. C'est pourquoi, je me suis dirigée chez Berko, afin de satisfaire ma légère addiction à ce gâteau crémeux.

Berko est une adresse est prisée : il ne faut pas avoir peur de pénétrer dans la boutique bondée. Le monde agglutiné à l'intérieur est dans un premier temps effrayant voire repoussant, mais une fois entrée, on se rend vite compte qu'il existe deux queues distinctes selon ce que l'on vient acheter et celles-ci avancent vite.

Ang Traiteur (13e)

La nourriture chinoise a, depuis ces dernières années une mauvaise réputation en France. Il est devenu difficile d'assouvir ses envies asiatiques sans avoir une arrière pensée négative.  Alors quand on trouve une adresse de qualité, il est nécessaire de la partager au public. C'est pourquoi j'ai choisi de vous parler de mon traiteur chinois préféré : Ang situé dans le 13e.

N'allez pas chez Ang en espérant rapporter chez vous du boeuf aux oignons ou du poulet au curry. Ici, l'accent est mis sur la rôtisserie. Et quelle rôtisserie. Sont exposés en vitrine d'appétissants canards, porcs et cailles laqués qui ne peuvent vous laisser indifférents. Et si vous restez de marbre face à ce spectacle, vous ne résisterez pas à la douce odeur de caramel qui s’échappe de la boutique. 

La Scala (Issy les Moulineaux)

Aux portes de Paris et de sa Porte de Versailles, Issy-les-Moulineaux est une ville chargée en entreprises. Y sont installées Canal plus, Johnson & Johnson, France 24, Veolia, Orange... Toutes ces structures génèrent un grand nombre de salariés affamés à l'heure du déjeuner. Ainsi, la pas si petite ville du 92 abrite un grand nombre de restaurants pour apaiser les estomacs des travailleurs.

Le restaurant italien, La Scala tente de remplir cette délicate mission.

Entrer à la Scala peut se révéler surprenant. Difficile de se douter que derrière cette petite devanture de banlieue se trouve une si grande salle et un four à pizza à découvert.  Celle-ci est si conséquente, qu'il faut passer entre les mains de trois serveurs pour être placés. Attention cependant à ne pas se méprendre : à aucun moment nous n'avons attendu pour être placés, mais chaque département étant attribué à un membre du personnel, pour aller au fond, il faut passer par chaque étape. Cela permet au moins d'admirer la décoration assez travaillée et le travail du pizzaiolo.  

The Breakfast Club à Londres

 

Lorsqu'on parle de l'Angleterre, rares sont ceux qui pensent à sa gastronomie. Pourtant, on trouve d'excellents restaurants à Londres. Durant mes nombreux voyages dans la capitale britannique, j'ai pu découvrir de succulents établissements, alliant qualité et petits prix. Aujourd'hui, j'ai choisi de vous parler d'une institution : l'English Breakfast que j'ai testé au "The Breakfast club".

La Table libanaise (15e)

Manger libanais n’a rien d’exotique pour moi. Libanaise par ma mère, je suis une habituée des mezzés en tout genre. Mon exigence était donc grande lorsque j’ai réservé à La Table libanaise : ce restaurant pourrait-il me faire oublier les bons plats faits maison préparés par ma mère ?

Arrivés à l’avance par rapport à la réservation, mes amis et moi avons été chaleureusement reçus. Le maître de salle nous a accompagné à notre table tout en personnalisant son accueil d’un petit mot en libanais. Tout le service s’est ensuite poursuivi avec le sourire, le personnel étant à nos petits soins, que ce soit pour nous expliquer les différents plats ou nous apporter le « lavash » (pain libanais), que nous avons consommé en grande quantité.

Pour ce qui est de la décoration, elle est assez simple. On est très loin des ambiances travaillées des restaurants parisiens classiques, cela fait plus « cantine ». Mais quand on y réfléchit, pour avoir mangé dans de nombreux restaurants libanais, rares sont ceux qui peuvent se vanter d’avoir une décoration haut de gamme. La Table Libanaise n’est donc pas réellement un restaurant à conseiller pour un premier rendez-vous ou un repas en amoureux.

A quoi bon... appétit!

Bienvenue sur A quoi bon?

A quoi sert ce blog? Passionnée de gastronomie, j'ai eu envie de vous faire partager mes coups de cœur et coups de gueule sur les différents restaurants et pâtisseries que j'ai pus visiter. Etant parisienne, la plupart des lieux chroniqués se trouveront dans la capitale française, mais l'exception étant nécessaire pour confirmer la règle,  il m'arrivera de donner mon avis sur des établissements situés hors de la "Ville Lumière".


J'espère vous donner envie de saliver. A quoi bon... à appétit!